Tarzan and the Jewels of Opar
   
PARUTION ORIGINALE
In  : All-Story Weekly, 18 et 25 novembre, 2, 9 et 16 décembre 1916. En volume  : Chicago, A.C. McClurg & Co., avril 1918.
 
Bibliographie française
Couvertures françaises
 

 

RESUME

Le lieutenant belge Albert Werper a déshonoré son nom, ce qui lui a valu d’être envoyé au Congo. Il déserte et se joint à la bande de pillards de l’Arabe Achmet Zek. Sous le nom de Jules Frécoult, Werper se fait inviter au bungalow des Greystoke. Quand il apprend que Tarzan doit retourner à Opar pour chercher de l’or, il envoie un message à Achmet Zek et suit Tarzan.

Tarzan arrive à Opar. Il prélève des lingots d’or que les Waziris emportent. Alors que l’homme-singe se trouve encore à l’intérieur des caves d’Opar, ainsi que Werper qui s’est approché discrètement, un tremblement de terre se produit et Tarzan s’écroule sous les débris. Werper est capturé par les Opariens qui l’amènent sur un autel. Au moment où la grande prêtresse La va le sacrifier, un lion surgit. La s’évanouit.

Achmet Zek et sa horde arrivent au bungalow des Greystoke et attaquent. Mugambi, chargé de la protection de Jane, est laissé pour mort et les brigands repartent en emmenant Jane.

Quand Tarzan reprend connaissance, il a perdu la mémoire. Il remplit un petit sac de joyaux qu’il trouve jolis puis arrive dans la salle du sacrifice où il tue le lion. Réveillée, La déclare son amour à Tarzan mais il la repousse. Il libère Werper à qui il confie le couteau de sacrifice. Ils quittent la cité et se dirigent vers le bungalow des Greystoke. Une nuit, Werper voit Tarzan contempler ses joyaux, ce qui attise sa convoitise. Imitant les Waziris qu’il a vus enterrer l’or ramené d’Opar, Tarzan enfouit sous terre le sac contenant les joyaux. Lorsqu’il est endormi, Werper récupère le sac et s’éclipse.

Mugambi suit la piste des bandits. Il voit Werper être accueilli amicalement au camp d’Achmet Zek et comprend que c’est un traître. Werper prend cependant rapidement la fuite, ayant vu que Zek convoitait les joyaux.

Toujours à la recherche de Jane, Mugambi est capturé par un détachement de soldats abyssins commandé par Abdul Mourak. Werper est aussi capturé. Un soir, près d’une rivière, Mugambi reconnaît le sac que porte Werper et voit les joyaux qu’il contient. Le lendemain, il a disparu.

La et les Opariens s’aventurent hors d’Opar afin de récupérer le couteau sacré. Ils surprennent Tarzan endormi. La fait dresser un autel sur lequel elle pourra torturer Tarzan toute la nuit mais elle y renonce par amour. Après avoir aidé la prêtresse contre un éléphant furieux, Tarzan ordonne aux Opariens de retourner chez eux.

Achmet Zek et deux de ses hommes, à la recherche d’Albert Werper, ont la surprise de tomber sur Jane qu’ils croyaient enfermée dans leur camp mais qui s’est échappée. Plusieurs grands singes ainsi que Tarzan apparaissent. Les Arabes leur tirent dessus puis repartent avec Jane.

Tarzan décide de s’emparer de la femme qu’il a vue. Il part au village avec deux singes, Chulk et Taglat. Taglat enlève Jane et l’emporte dans la forêt. Furieux de n’avoir trouvé ni la femelle ni les cailloux, Tarzan quitte le village d’Achmet Zek.

Werper indique à Abdul Mourak où les lingots d’Opar ont été enterrés. Le détachement s’y rend et doit affronter les Arabes d’Achmet Zek. Presque tous les Abyssins sont tués. Achmet Zek et Werper s’affrontent. L’Arabe réussit à s’emparer du sac de joyaux de Werper mais quand il l’ouvre, il ne trouve dedans que des cailloux sans intérêt.

Chulk rencontre par hasard Mugambi. Il l’observe et alors que le Noir dort, il s’empare du petit sac que celui-ci porte sur lui.

Taglat est tué par un lion. Jane part en direction de la plaine des Waziris et voit Werper tuer Achmet Zek. Elle se précipite alors vers celui qu’elle croit être un ami. Werper la conduit au camp d’Achmet Zek, disant à Jane qu’elle doit se faire passer pour sa prisonnière. Il s’entend avec Mohammed Beyd, le second de Zek mais doit le tuer quand il s’en prend à Jane. Décidant de réparer le mal qu’il lui a fait, Werper la fait sortir du camp. Il la laisse dans un arbre et revient au camp où il s’arrange pour faire croire au suicide de Beyd. Lorsqu’il retourne dans la forêt, Jane a disparu.

Tarzan retrouve Werper. Alors qu’il cherche à lui faire dire où sont ses cailloux, le Belge l’appelle par son nom, ce qui rend la mémoire à Tarzan. Ils sont soudain encerclés de soldats de l’état libre du Congo, lancés à la poursuite de Werper. Ils sont emmenés dans leur camp. Là, Tarzan appelle à l’aide dans le langage des grands singes. Des grands singes, guidés par Chulk, attaquent le camp. Chulk est tué et Werper découvre à sa stupéfaction qu’il porte sur lui le sac de joyaux. Ses bons sentiments s’envolent et il prend la fuite.

Jane est capturée par Abdul Mourak. Le soir, leur camp est attaqué par plusieurs lions. Tarzan arrive et sauve Jane d’un lion. Enfin ensemble, Tarzan et Jane rentrent chez eux.

Quelques mois plus tard, alors qu’ils sont partis à la chasse, ils découvrent les restes d’Albert Werper. Tarzan ramasse le sac que Werper portait et à la stupéfaction de Mugambi qui avait remplacé le contenu par des cailloux alors qu’ils étaient prisonniers d’Abdul Mourak, le sac contient effectivement les joyaux d’Opar.
 


BIBLIOGRAPHIE FRANCAISE

«  Tarzan et le trésor d’Opar  » (trad. de Pierre Cobore). In  : Hop-là, n° 53 (11 décembre 1938) à 66 (12 mars 1939).
Tarzan et le trésor d’Opar (trad. de Pierre Cobore). Paris, Hachette, septembre 1939. Couverture  : Jacques Souriau.
«  Tarzan et le trésor d’Opar  » (trad. de Pierre Cobore). In  : Story, n° 28 (27 décembre 1945) à 57 (19 juillet 1946).
Tarzan et les joyaux d’Opar (trad. de Renée Rosenthal). Paris, Édition Spéciale, octobre 1970, coll. «  Tarzan  », n° 7. Couverture  : Burne Hogarth.
Tarzan et les joyaux d’Opar (trad. de Marc Baudoux). Paris, NéO, avril 1987, coll. «  Tarzan  », n° 5. Couverture  : Jean-Michel Nicollet.
Tarzan et les joyaux d’Opar (trad. de Barbara Nasaroff). Paris, Hachette, novembre 1993, coll. «  Bibliothèque Verte  », n° 34. Couverture  : Marcel Laverdet.
«  Tarzan et les joyaux d’Opar  » (trad. de Marc Baudoux). In recueil  : La Légende de Tarzan. Paris, Omnibus, septembre 2012. Couverture  : Burne Hogarth.
Tarzan et le trésor d’Opar (trad. de Marc Baudoux). Cressé, PRNG Éditions, octobre 2019. Couverture  : Allen St John. Réédition avec une nouvelle couverture et la même illustration.

 

COUVERTURES FRANCAISES

 


Hachette


Edition Spéciale


NéO
 


Bibliothèque Verte


Omnibus


PRNG
 


PRNG

 



© Michel Vannereux