The Girl from Farris’s
   
PARUTION ORIGINALE
In  : All-Story Weekly, 23 et 30 septembre, 7 et 14 octobre 1916. En volume  : Tacoma, The Wilma Company, 1959.
 
Bibliographie française
Couvertures françaises
 

 


RESUME

Maggie Lynch s’échappe de l'établissement Farris, une maison close. Elle reprend son véritable nom, June Lathrop, et trouve du travail dans la société d'Ogden Secor. L’officier de police Doarty la reconnaît lors d’une visite et en parle à Stickler, le chef de service. Celui-ci tente de profiter de June mais elle le rejette sèchement. Un soir, Ogden Secor est agressé par des cambrioleurs et June est soupçonnée de complicité. Stickler la renvoie.

Affaibli par l'agression, Ogden Secor perd une partie de ses moyens et de sa mémoire. Après plusieurs mois, il se retrouve ruiné. L'idée lui vient de rejoindre un ranch qu'il possède dans l’Idaho. Il s'y rend mais se fait escroquer en route et se retrouve sans un sou. Il sombre dans l'alcoolisme.

Dans un saloon, il rencontre June, devenue serveuse, mais ne la reconnaît pas. Son état empire quand il réalise que sa propriété est un morceau de terre aride. Mais par la suite, comme une ville va être construite sur cette région, le terrain prend une grande valeur.

L’officier Doarty arrête June pour le meurtre de John Secor quatre ans plus tôt. Lors du procès, il est révélé que John Secor avait séduit June Lathrop, lui faisant croire qu'ils s'étaient mariés, et l'avait emmenée à la maison Farris. Après la mort de Secor, terrassé par une crise cardiaque, Abe Farris a retenu June prisonnière dans son établissement.

June est reconnue innocente et il s'avère que Stickler était à l'origine du cambriolage. June accepte finalement d'épouser Ogden Secor.
 



BIBLIOGRAPHIE FRANCAISE

«  La fille de chez Farris  » (trad. de Gilbert Viala). In  : La Tribune des amis d’Edgar Rice Burroughs, n° 27 (octobre 1996) à 30 (juin 1998). Incomplet.
La fille de chez Farris (trad. de Gilbert Viala). Michel Decuyper (hors commerce), 1999. Couverture  : Frank Frazetta.

 


COUVERTURES FRANCAISES

 


Michel Decuyper

 



© Michel Vannereux