JIMMY GUIEU
L'univers vivant
 
   
EDITION ORIGINALE
Fleuve Noir, coll. Anticipation, n° 22, 1953
 
SERIE
Jerry Barclay
 
REEDITIONS
• 
Plon, coll. SF Jimmy Guieu, n° 7, 1980
• 
Plon, coll. SF Jimmy Guieu, n° 7, 1986
• 
Vauvenargues, coll. SF Jimmy Guieu, n° 7, 2001

En décembre 1999, on constate une recrudescence de collisions de galaxies. Une expédition intergalactique est envoyée pour voir ce qui arrive à la femme dans laquelle est contenu l’Univers. Ils arrivent au-delà de l’infini, et se déplacent maintenant au sein d’atomes, de molécules appartenant à de la matière vivante.

L’escadre se retrouve dans l’atmosphère d’une planète et survole une femme. L’escadre sort de son genou. Les nébuleuses de leur Univers sont les molécules de son organisme. La femme souffre d’une blessure grave, et est soignée dans le vaisseau.

La Femme-Cosmos est la princesse Lakuwa. Son père qui régnait sur la planète Ladon a été assassiné par un agitateur appelé Kowan qui a imposé sa dictature. Lakuwa et son frère ont été exilés sur ce monde, et le frère est mort.

Ils se rendent sur Ladon et l’escadrille se pose près de la capitale. Ils vont voir Hyrban, un ami de Lakuwa. Il est devenu aveugle et est avec d’autres personne qui agissent dans la clandestinité.

Xung part chercher des renforts dans leur univers. L’escadrille se réduit et disparaît dans le genou de Lakuwa. Ils retrouvent l’univers standard où l’agitation des galaxies a cessé.

Comme il existe des bagnes sur les deux satellites, Tinwy et Sogur, Barclay et ses amis lancent une attaque, mais quelqu’un les a trahis et ils doivent abandonner.

Le reporter Billy Hawkins et Lakuwa sont capturés. Ils sont conduits au palais, et amenés devant Kowan qui les fouette.

Barclay et une escadrille se dirigent vers le palais. Ils libèrent Billy et Lakuwa et l’escadrille repart. Ils retrouvent des dissidents, puis la flotte de Xung arrive.

Ils attaquent les deux satellites bagnes et libèrent les prisonniers. Ils attaquent ensuite Ladon. Lakuwa transperce le cœur de Kowan avec un couteau. L’escadrille repart pour son univers.



© Michel Vannereux